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Les enjeux éthiques de l’intelligence artificielle : quelles responsabilités individuelle et collective face à l’IA ?

Samedi 31 janvier 2026 à 10h30
Librairie-café Antiope - 4 passage Gruffaz - 74000 Annecy

Les enjeux éthiques de l’intelligence artificielle : quelles responsabilités individuelle et collective face à l’IA ?

(à noter que la rencontre se déroule sans la présence de l’auteur)

Rencontre-débat autour du livre « Ni dieu ni IA – Une philosophie sceptique de l’intelligence artificielle » de Mathieu Corteel – Philosophe et historien des sciences – Chercheur postdoctoral à Sciences Po et à l’Institut Imagine – Chercheur associé à Harvard – Editions La découverte – 2025.

En partenariat avec la Librairie - Café Antiope.

Date : Samedi 31 janvier 2026 à 10h30 - Entrée libre.

Lieu : Librairie-café Antiope – 4, passage Gruffaz – 74000 Annecy.

Attention : Places limitées – Inscription conseillée par mail à comprendre.notre.epoque@orange.fr (mailto:comprendre.notre.epoque@orange.fr) en indiquant que vous vous inscrivez à cet événement. Vous recevrez une confirmation dans la limite des places disponibles.

Du devoir de l’étudiant à l’article scientifique, en passant par le deepfake , le journalisme ou encore l’art visuel, les IA participent désormais à tous les types de production culturelle et se propagent de proche en proche dans chaque recoin de nos vies.

Nous partageons avec les IA nos souvenirs, nos désirs, nos affects, nos connaissances et nos créations sans la moindre limite.

Par paresse, par fascination ou par jeu, nous sommes tentés de nous déposséder de nos qualités humaines et d’en investir des calculatrices toutes-puissantes.

Déléguer nos pouvoirs d’action, de création et de décision à des interfaces auxquelles nous attribuons une pensée, qu’est-ce que cela implique concrètement dans tous les domaines de notre existence : le travail, le soin, la surveillance, le vote ou encore l’éducation ?

Que deviennent nos mondes humains en s’hybridant à nos machines connectées ?

Face à ce « tsunami » généralisé, quelles prises de conscience et quels comportements individuels et collectifs possibles ?

Les choix des textes et ouvrages en sciences humaines et sociales abordés lors de nos rencontres débats ne signifient pas que notre association cautionne le point de vue des auteur(e)s et chercheur(e)s. Ces travaux servent de point de départ pour la réflexion et les échanges qui prolongent chaque rencontre.

Les enjeux éthiques de l’intelligence artificielle : quelles responsabilités individuelle et collective face à l’IA ?

Lundi 26 janvier 2026 à 18h30
Maison des solidarités locales et internationales - 215 rue Vendôme, Lyon 69003 - Accès public : par la rue Chaponnay

Les enjeux éthiques de l’intelligence artificielle : quelles responsabilités individuelle et collective face à l’IA ?

(à noter que la rencontre se déroule sans la présence de l’auteur)

Rencontre-débat autour du livre « Ni dieu ni IA – Une philosophie sceptique de l’intelligence artificielle » de Mathieu Corteel – Philosophe et historien des sciences – Chercheur postdoctoral à Sciences Po et à l’Institut Imagine – Chercheur associé à Harvard – Editions La découverte - 2025

En partenariat avec la Maison des solidarités locales et internationales de Lyon.

Date : Lundi 26 janvier 2026 à 18h30 - Entrée libre

Lieu : Maison des solidarités locales et internationales - 215 rue Vendôme, Lyon 69003 - Accès public : par la rue Chaponnay

Attention : Places limitées – Inscription conseillée par mail à comprendre.notre.epoque@orange.fr (mailto:comprendre.notre.epoque@orange.fr) en indiquant que vous vous inscrivez à cet évènement. Vous recevrez une confirmation dans la limite des places disponibles.

Du devoir de l'étudiant à l'article scientifique, en passant par le deepfake , le journalisme ou encore l'art visuel, les IA participent désormais à tous les types de production culturelle et se propagent de proche en proche dans chaque recoin de nos vies.
Nous partageons avec les IA nos souvenirs, nos désirs, nos affects, nos connaissances et nos créations sans la moindre limite. Par paresse, par fascination ou par jeu, nous sommes tentés de nous déposséder de nos qualités humaines et d'en investir des calculatrices toutes-puissantes.

Déléguer nos pouvoirs d'action, de création et de décision à des interfaces auxquelles nous attribuons une pensée, qu’est-ce que cela implique concrètement dans tous les domaines de notre existence : le travail, le soin, la surveillance, le vote ou encore l'éducation ?

Que deviennent nos mondes humains en s'hybridant à nos machines connectées ?

Face à ce « tsunami » généralisé, quelles prises de conscience et quels comportements individuels et collectifs possibles ?

Les choix des textes et ouvrages en sciences humaines et sociales abordés lors de nos rencontres débats ne signifient pas que notre association cautionne le point de vue des auteur(e)s et chercheur(e)s. Ces travaux servent de point de départ pour la réflexion et les échanges qui prolongent chaque rencontre.

Le colonialisme vert, ou les excès de la préservation de la nature (à noter que la rencontre se déroule sans la présence de l’auteur)

Samedi 6 décembre 2025 à 10h30
Librairie-café Antiope – 4, passage Gruffaz – 74000 Annecy

Le colonialisme vert, ou les excès de la préservation de la nature

(à noter que la rencontre se déroule sans la présence de l’auteur) 

Rencontre-débat autour du livre « L’invention du colonialisme vert – Pour en finir avec le mythe de l’éden africain » de Guillaume Blanc – Maître de à l’université Rennes 2 et Historien de l’environnement, spécialiste de l’Afrique contemporaine – Editions Flammarion - 2020

En partenariat avec la Libraire- Café Antiope

Date : Samedi 6 décembre 2025 à 10h30 - Entrée libre

Lieu : Librairie-café Antiope – 4, passage Gruffaz – 74000 Annecy

Attention : Places limitées – Inscription conseillée par mail à comprendre.notre.epoque@orange.fr en indiquant que vous vous inscrivez à cet événement. Vous recevrez une confirmation dans la limite des places disponibles.

L'histoire débute à la fin du XIXe siècle. Persuadés d'avoir retrouvé en Afrique la nature disparue en Europe, les colons créent les premiers parcs naturels du continent. Puis, au lendemain des années 1960, les anciens administrateurs coloniaux se reconvertissent en experts internationaux. Il faudrait sauver l'Eden !

Mais cette Afrique n'existe pas. Il n'y a pas de vastes territoires vierges de présence humaine, arpentés seulement par ces hordes d'animaux sauvages qui font le bonheur des safaris.

Des films comme « Out of Africa » ou les documentaires de National Géographic font perdurer cette fausse image de nature vierge à l’état sauvage et sans habitants. Il y a des peuples qui circulent depuis des millénaires.

Pourtant, ces hommes, ces femmes et enfants sont expulsés des parcs naturels africains, où ils subissent aujourd'hui la violence quotidienne des éco-gardes soutenus par l'Unesco, le WWF et tant d'autres ONG, au nom d’une image idéalisée de la nature.

Alors que des paysans africains sont chassés de réserves naturelles classées par l’Unesco, car considérés comme détruisant la nature, des parcs en Europe comme celui des Cévennes, classé également par l’Unesco, maintiennent les systèmes agro-pastoraux en harmonie avec les agriculteurs.

Basé sur des archives inédites et des récits de vie, Guillaume Blanc met au jour les contradictions des pays développés qui détruisent chez eux la nature qu'ils croient protéger là-bas, prolongeant, avec une bonne conscience, le schème d'un nouveau genre de colonialisme : le colonialisme vert.

Les choix des textes et ouvrages en sciences humaines et sociales abordés lors de nos rencontres débats ne signifient pas que notre association cautionne le point de vue des auteur(e)s et chercheur(e)s. Ces travaux servent de point de départ pour la réflexion et les échanges qui prolongent chaque rencontre.

Le colonialisme vert, ou les excès de la préservation de la nature

Lundi 24 novembre 2025 à 18H30
Lieu : Maison des solidarités locales et internationales - 215 rue Vendôme, Lyon 69003 - Accès public : par la rue Chaponnay

Le colonialisme vert, ou les excès de la préservation de la nature

(à noter que la rencontre se déroule sans la présence de l’auteur) 

Rencontre-débat autour du livre « L’invention du colonialisme vert – Pour en finir avec le mythe de l’éden africain » de Guillaume Blanc – Maître de à l’université Rennes 2 et Historien de l’environnement, spécialiste de l’Afrique contemporaine – Editions Flammarion - 2020

En partenariat avec la Maison des solidarités locales et internationales de Lyon.

Date : Lundi 24 novembre 2025 à 18h30 - Entrée libre 

Lieu : Maison des solidarités locales et internationales - 215 rue Vendôme, Lyon 69003 - Accès public : par la rue Chaponnay

Attention : Places limitées – Inscription conseillée par mail à comprendre.notre.epoque@orange.fr en indiquant que vous vous inscrivez à cet événement. Vous recevrez une confirmation dans la limite des places disponibles.

L'histoire débute à la fin du XIXe siècle. Persuadés d'avoir retrouvé en Afrique la nature disparue en Europe, les colons créent les premiers parcs naturels du continent. Puis, au lendemain des années 1960, les anciens administrateurs coloniaux se reconvertissent en experts internationaux. Il faudrait sauver l'Eden !

Mais cette Afrique n'existe pas. Il n'y a pas de vastes territoires vierges de présence humaine, arpentés seulement par ces hordes d'animaux sauvages qui font le bonheur des safaris.

Des films comme « Out of Africa » ou les documentaires de National Géographic font perdurer cette fausse image de nature vierge à l’état sauvage et sans habitants. Il y a des peuples qui circulent depuis des millénaires.

Pourtant, ces hommes, ces femmes et enfants sont expulsés des parcs naturels africains, où ils subissent aujourd'hui la violence quotidienne des éco-gardes soutenus par l'Unesco, le WWF et tant d'autres ONG, au nom d’une image idéalisée de la nature.

Alors que des paysans africains sont chassés de réserves naturelles classées par l’Unesco, car considérés comme détruisant la nature, des parcs en Europe comme celui des Cévennes, classé également par l’Unesco, maintiennent les systèmes agro-pastoraux en harmonie avec les agriculteurs.

Basé sur des archives inédites et des récits de vie, Guillaume Blanc met au jour les contradictions des pays développés qui détruisent chez eux la nature qu'ils croient protéger là-bas, prolongeant, avec une bonne conscience, le schème d'un nouveau genre de colonialisme : le colonialisme vert.

Les choix des textes et ouvrages en sciences humaines et sociales abordés lors de nos rencontres débats ne signifient pas que notre association cautionne le point de vue des auteur(e)s et chercheur(e)s. Ces travaux servent de point de départ pour la réflexion et les échanges qui prolongent chaque rencontre.

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